La population à la rue n’est pas le cliché du clochard vagabond. Elle possède aujourd’hui bien des facettes qui témoignent de la dureté de l’exclusion et du manque de coordination dans les politiques de traitement des problèmes sociaux. Elle n’existe pas seulement en hiver, mais, avec le froid, les consciences se réveillent.
La population à la rue n’est pas l’apanage de quelques arrondissements, elle existe aussi dans la rive gauche et dans le 5ème et il est légitime de se demander pourquoi il n’existe pas dans notre arrondissement de centre d’hébergement d’urgence.
Le conseil d’arrondissement du 5ème a voté, à l’unanimité, un vœu demandant que dans le cadre du plan « grand froid » soit procédé à l’utilisation des gymnases de l’arrondissement pour l’accueil des SDF car ces établissements possèdent une capacité d’accueil importante et la présence de sanitaires. Mais cela est déjà prévu dans le cadre du plan « grand froid » : ouverture de 4 gymnases parisiens permettant l’accueil de 300 personnes ainsi que la possible préparation de 850 places supplémentaires dans 12 autres gymnases si les conditions climatiques rendaient nécessaire une mobilisation supplémentaire.
La majorité actuelle du conseil d’arrondissement a en revanche refusé de voter le vœu proposant de mettre à la disposition des sans-abri, en lien avec une association reconnue, en cas de besoin, une salle de la Mairie comme cela est déjà fait dans les 1er et 4ème arrondissements, sous prétexte qu’il y a certes le chauffage, mais il n’y a pas de salle d’eau .
En cette période de fin d’année, au-delà des croyances de chacun, force est de se dire qu’il est toujours difficile, pour les plus démunis, de trouver une « crèche ». Aujourd’hui, en cas de grand froid, les sans-abri, seront bien inspirés de rester en dehors de notre beau 5ème.
Pour un dialogue démocratique et social, respectueux de la liberté de chacun
jeudi 18 décembre 2008
mercredi 17 décembre 2008
Chantier de désamiantage de Jussieu
Ce vœu a été adopté lors de la séance du Conseil de Paris du 17 décembre 2008 :
Considérant que le plus important chantier de désamiantage en Europe est situé dans le 5ème sur l’emprise d’une parcelle appartenant à l’Etat,
Considérant que ce chantier du campus de Jussieu a été lancé depuis 1996 et qu’il ne sera achevé au mieux que vers 2014,
Considérant l’ensemble des nuisances de ce chantier pour les habitants, étudiants et surtout les commerçants du quartier Saint Victor depuis douze ans,
Sur proposition de Lyne Cohen-Solal, au nom de l’exécutif, le Conseil de Paris émet le vœu que :
Le Maire de Paris saisisse la Ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche :
- afin qu’une commission soit mise en place par l’Etat pour évaluer les impacts du chantier de désamiantage du campus de Jussieu sur la vitalité économique des commerces du quartier Saint Victor.
- afin que l’Etat mette en œuvre une procédure d’indemnisation à l’amiable des commerçants exerçant des activités économiques dans ce quartier du 5ème, sur le modèle de celle mise en place par la Ville de Paris lors des travaux du Tramway.
Considérant que le plus important chantier de désamiantage en Europe est situé dans le 5ème sur l’emprise d’une parcelle appartenant à l’Etat,
Considérant que ce chantier du campus de Jussieu a été lancé depuis 1996 et qu’il ne sera achevé au mieux que vers 2014,
Considérant l’ensemble des nuisances de ce chantier pour les habitants, étudiants et surtout les commerçants du quartier Saint Victor depuis douze ans,
Sur proposition de Lyne Cohen-Solal, au nom de l’exécutif, le Conseil de Paris émet le vœu que :
Le Maire de Paris saisisse la Ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche :
- afin qu’une commission soit mise en place par l’Etat pour évaluer les impacts du chantier de désamiantage du campus de Jussieu sur la vitalité économique des commerces du quartier Saint Victor.
- afin que l’Etat mette en œuvre une procédure d’indemnisation à l’amiable des commerçants exerçant des activités économiques dans ce quartier du 5ème, sur le modèle de celle mise en place par la Ville de Paris lors des travaux du Tramway.
mardi 16 décembre 2008
Travail le dimanche
Le travail le dimanche ne fait que déplacer les achats de la semaine vers le dimanche. Il renchérit le prix des produits puisque le personnel est payé plus cher ce jour là. C’est d’ailleurs la seul raison qui pousse les salariés à travailler le dimanche : gagner un peu plus d’argent quand les salaires sont très bas. Le travail le dimanche porte un coup supplémentaire aux commerces de centre ville en transportant en voiture donc avec des coûts d’essence, de CO2 une clientèle à plusieurs kilomètres à l’extérieur des villes et des villages désertifiant un peu plus ceux-ci. Il désorganise la vie familiale, empêche parents et enfants de se retrouver ensemble ce jour là. Le dimanche devrait être le jour du repos mais d’un repos qui peut être aussi consacré à des activités autres, distractives, sportives, éducatives, culturelles. Le supermarché n’est pas un lieu de divertissement même si souvent il en prend les allures pour mieux attirer le chaland et l’entraîner à consommer plus facilement.
C’est là ou je voulais en venir. Le dimanche est le jour où se produisent nombre de manifestations culturelles. Pour certains, c’est la messe le dimanche matin, pour d’autres et ce n’est pas exclusif, le musée, les expositions, le cinéma, le théâtre – il y a encore des spectacles en matinée le dimanche - les concerts. Le secteur culturel travaille depuis longtemps le dimanche pour le repos et la distraction des citoyens. Multiplier le travail du dimanche c’est lui retirer une partie de sa clientèle. C’est ôter à celle-ci une occasion de voir autre chose, de se distraire, de débattre, d’échanger en famille entre soi et avec les autres. C’est une socialisation que n’apportera jamais le chariot poussé dans les allées d’un supermarché. C’est un choix de société.
C’est là ou je voulais en venir. Le dimanche est le jour où se produisent nombre de manifestations culturelles. Pour certains, c’est la messe le dimanche matin, pour d’autres et ce n’est pas exclusif, le musée, les expositions, le cinéma, le théâtre – il y a encore des spectacles en matinée le dimanche - les concerts. Le secteur culturel travaille depuis longtemps le dimanche pour le repos et la distraction des citoyens. Multiplier le travail du dimanche c’est lui retirer une partie de sa clientèle. C’est ôter à celle-ci une occasion de voir autre chose, de se distraire, de débattre, d’échanger en famille entre soi et avec les autres. C’est une socialisation que n’apportera jamais le chariot poussé dans les allées d’un supermarché. C’est un choix de société.
samedi 13 décembre 2008
Palais de la Mutualité (suite)
Question écrite de Nicole BORVO COHEN-SEAT, Sénatrice de Paris, Présidente du Groupe Communiste, Républicain et Citoyen et des Sénateurs du Parti de Gauche.
Madame Nicole BORVO COHEN-SEAT attire l'attention de Madame la Ministre de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative sur les menaces qui pèsent sur les activités du palais de la mutualité à Paris dans le 5e arrondissement.
188 médecins y consultent sans dépassement d'honoraire depuis 1949 et c'est 200 000 actes par an qui sont ainsi effectués. Ces activités contribuent à la lutte contre les inégalités d'accès aux soins. L'engagement des équipes dans des réseaux de soins participe à l'efficacité du maillage territorial. La situation géographique, au centre de la capitale, en fait à la fois un centre de proximité, mais aussi un centre d'accueil pour les populations de banlieue. De plus les salles de la Mutualité offrent au centre de Paris une possibilité concrète d'organiser des réunions notamment politiques et syndicales.
Pourtant la Fédération mutualiste parisienne (FMP) envisage la fermeture des activités médicales du palais de la Mutualité afin de transformer celui-ci en palais des congrès ainsi qu'un plan de licenciement affectant plus de 500 emplois. L'État ne peut rester indifférent à cette nouvelle diminution de l'offre de soins qui affectera ceux qui ont le moins de moyens.
En conséquence elle lui demande d'intervenir très rapidement afin que le ministère contribue à la réunion de tous les acteurs concernés en vue d'envisager les mesures pour le maintien et le développement des activités des centres concernés et de l'offre de soins qui s'y trouve.
Copyright © Elunet.org, Portail de l'action des Elus et de la vie citoyenne Page 1/1
Madame Nicole BORVO COHEN-SEAT attire l'attention de Madame la Ministre de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative sur les menaces qui pèsent sur les activités du palais de la mutualité à Paris dans le 5e arrondissement.
188 médecins y consultent sans dépassement d'honoraire depuis 1949 et c'est 200 000 actes par an qui sont ainsi effectués. Ces activités contribuent à la lutte contre les inégalités d'accès aux soins. L'engagement des équipes dans des réseaux de soins participe à l'efficacité du maillage territorial. La situation géographique, au centre de la capitale, en fait à la fois un centre de proximité, mais aussi un centre d'accueil pour les populations de banlieue. De plus les salles de la Mutualité offrent au centre de Paris une possibilité concrète d'organiser des réunions notamment politiques et syndicales.
Pourtant la Fédération mutualiste parisienne (FMP) envisage la fermeture des activités médicales du palais de la Mutualité afin de transformer celui-ci en palais des congrès ainsi qu'un plan de licenciement affectant plus de 500 emplois. L'État ne peut rester indifférent à cette nouvelle diminution de l'offre de soins qui affectera ceux qui ont le moins de moyens.
En conséquence elle lui demande d'intervenir très rapidement afin que le ministère contribue à la réunion de tous les acteurs concernés en vue d'envisager les mesures pour le maintien et le développement des activités des centres concernés et de l'offre de soins qui s'y trouve.
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Inscription sur les listes électorales
Comme vous le savez, les inscriptions sur les listes électorales françaises pour les élections européennes de juin 2009 doivent se faire avant le 31 décembre 2008.
Notez que les Européens qui ont voté en France pour les municipales de 2008 doivent OBLIGATOIREMENT se réinscrire."
lien mimnistère intérieur :
http://www.interieur.gouv.fr/sections/a_votre_service/elections/comment_voter/liste-ressortissants-ue
lien Marie du 5ème :
http://www.mairie5.paris.fr/mairie5/jsp/site/Portal.jsp?article_id=12563&portlet_id=427
Notez que les Européens qui ont voté en France pour les municipales de 2008 doivent OBLIGATOIREMENT se réinscrire."
lien mimnistère intérieur :
http://www.interieur.gouv.fr/sections/a_votre_service/elections/comment_voter/liste-ressortissants-ue
lien Marie du 5ème :
http://www.mairie5.paris.fr/mairie5/jsp/site/Portal.jsp?article_id=12563&portlet_id=427
vendredi 12 décembre 2008
jeudi 11 décembre 2008
Sauver les commerces culturels du quartier latin
Combien de librairies transformées en banques, de disquaires remplaçés par un fast food, de galeries devenue marchand de vêtement. Nous n'avons rien contre ces honorables professions mais nous aimerions aussi conserver la diversité des commerces traditionnels du Quartier Latin.
Nous devons saluer l’initiative de l’Hôtel de Ville qui avec le soutien des mairies d’arrondissement a étendu l'action de la Semaest qui contribuait à la diversité commerciale et la vie de quartier dans 6 quartiers des 1, 2, 3, 11, 12 et 20ème arrondissements et intervient désormais pour la protection du commerce culturel de 5 quartiers des 5ème et 6ème arrondissements.
Sa mission consiste à acheter des locaux commerciaux dédiés au commerce culturel qui risquent de fermer ou de changer de nature d’activité. Après transformation, réhabilitation et si nécessaire mise aux normes, elle les loue à des commerçants et artisans dans des conditions lui permettant de pérenniser et développer son activité en contrepartie de l’engagement de maintenir l’activité précédente ou d’en créer une conforme aux objectifs de diversification commerciale fixés à la SEMAEST.
Un budget de 64 M€ a été fixé pour ce nouveau champ d’intervention dont une avance remboursable de 34 M€ remboursable de la Ville de Paris.
Dans chaque arrondissement un Groupe de travail local est organisé, sous la responsabilité du maire d’arrondissement, pour contribuer à la veille commerciale, pour participer à l’élaboration des plans d’action et au suivi des mises en œuvre. Il réunit élus, représentants d’associations, de commerçants et la SEMAEST ;
Si vous connaissez un commerce culturel qui va fermer ou un commerce à vendre
Si vous avez un projet culturel
Prévenez le responsable de secteur quartier Latin : a.vandendries@semaest.fr
Les missions et actions de la SEMAEST, les locaux disponibles:http://www.semaest.fr/
Nous devons saluer l’initiative de l’Hôtel de Ville qui avec le soutien des mairies d’arrondissement a étendu l'action de la Semaest qui contribuait à la diversité commerciale et la vie de quartier dans 6 quartiers des 1, 2, 3, 11, 12 et 20ème arrondissements et intervient désormais pour la protection du commerce culturel de 5 quartiers des 5ème et 6ème arrondissements.
Sa mission consiste à acheter des locaux commerciaux dédiés au commerce culturel qui risquent de fermer ou de changer de nature d’activité. Après transformation, réhabilitation et si nécessaire mise aux normes, elle les loue à des commerçants et artisans dans des conditions lui permettant de pérenniser et développer son activité en contrepartie de l’engagement de maintenir l’activité précédente ou d’en créer une conforme aux objectifs de diversification commerciale fixés à la SEMAEST.
Un budget de 64 M€ a été fixé pour ce nouveau champ d’intervention dont une avance remboursable de 34 M€ remboursable de la Ville de Paris.
Dans chaque arrondissement un Groupe de travail local est organisé, sous la responsabilité du maire d’arrondissement, pour contribuer à la veille commerciale, pour participer à l’élaboration des plans d’action et au suivi des mises en œuvre. Il réunit élus, représentants d’associations, de commerçants et la SEMAEST ;
Si vous connaissez un commerce culturel qui va fermer ou un commerce à vendre
Si vous avez un projet culturel
Prévenez le responsable de secteur quartier Latin : a.vandendries@semaest.fr
Les missions et actions de la SEMAEST, les locaux disponibles:http://www.semaest.fr/
mercredi 10 décembre 2008
Des patrons, syndicats et politiques unis contre le travail dominical
PARIS, 9 déc 2008 (AFP) - Des représentants patronaux, syndicaux et politiques de droite et de gauche ont dénoncé d'une même voix, mardi, la proposition de loi du député UMP Richard Mallié sur le travail du dimanche, en organisant "une convention nationale pour le repos dominical". "Organisations syndicales, patronales, politiques, plus nous serons divers et unis, plus nous aurons des chances de gagner ce combat", a déclaré lors d'une conférence de presse Marc Le Fur, vice-président de l'Assemblée nationale et principal opposant au sein de l'UMP au travail du dimanche. Cette "convention nationale pour le repos dominical" a notamment réuni des représentants des cinq fédérations syndicales du commerce (CGT, FO, CFTC, CFE-CGC et CFDT), des responsables patronaux de la CGPME et de l'UPA, ainsi que de: 3 politiques de droite et de gauche, à l'instar de Marylise Lebranchu, députée PS, Alain Vidalies, secrétaire national du PS en charge de l'emploi, Lyne Cohen-Solal, adjointe PS à la mairie de Paris, Nicolas Dupont-Aignan (DLR) ... "Avec cette loi, tous les achats réalisés le dimanche dans les centres commerciaux seront un simple transfert d'achats qui auraient été faits sinon dans des petits commerces, qui seront alors en grande difficulté", a expliqué Bernard Denis, président de la Confédération des commerçants de France (affiliée à la CGPME) . "Notre message, c'est que toutes les organisations de salariés, les branches professionnnelles, et nous politiques, nous disons au gouvernement d'arrêter", a déclaré Alain Vidalies pour le PS. Inscrite au départ à l'agenda de l'Assemblée nationale pour le Il décembre, la proposition de loi du député UMP Richard Mallié sur le travail dominical est pour l'heure reportée sans qu'aucune date d'examen n'ait été fixée. sda/jba/bg AFP Page 1/1
CICA sur la sécurité
Lors du CICA du 8 décembre, a été présenté le plan de mise en place de caméras de vidéo surveillance dans Paris. Dans le 5ème, le plan prévoit de porter le nombre de caméras de vidéo surveillance gérées par la Préfecture de Police de 8 à 56. Ce plan est mis en place en coordination de l'Hotel de Ville qui est elle-même en train de mettre en place un plan de développement spécifique aux équipements scolaires, culturels et sportifs dont elle assure la gestion.
Ce dispositif sera déployé dans le respect des libertés publiques et plus particulièrement des lois de 1995 et 2006 sur la vidéo surveillance. Un droit d'accés aux images concernant les citoyens sera instauré et la durée maximale de 30 jours respectée hors réquisitions judiciaires. De plus un comité d'éthique rassemblant des représentants de la Préfecture de Police et de la Ville de Paris devrait être constitué pour suivre le respect des droits des usagers.
Il conviendra de suivre avec attention ce projet et trouver un juste équilibre entre les besoins réels, l'estimation de chacun des besoins autour de son domicile, de son lieu de travail ou des établissements scolaires et les restrictions à la liberté d'aller et venir que ce contrôle permanent fait peser sur nos têtes.
La préfecture de Police a également proposé de revoir la réglementation de la vente à emporter d'alcool et de la consommation sur la voie publique. Désormais sur les zones Saint Sèverin et Hopital les ventes à emporter ne seraient pas autorisées de 22 heures 30 à 7 heures du matin et la consommation d'alcool sur la voie publique ne serait plus autorisée de 16 heures à 7 heures du matin. A ces deux zones, serait associée une nouvelle zone de réglementation qui irait de la Rue des écoles à la Rue Monge jusqu'à Censier et reviendrait par la Rue Mouffetard.
Ce dispositif sera déployé dans le respect des libertés publiques et plus particulièrement des lois de 1995 et 2006 sur la vidéo surveillance. Un droit d'accés aux images concernant les citoyens sera instauré et la durée maximale de 30 jours respectée hors réquisitions judiciaires. De plus un comité d'éthique rassemblant des représentants de la Préfecture de Police et de la Ville de Paris devrait être constitué pour suivre le respect des droits des usagers.
Il conviendra de suivre avec attention ce projet et trouver un juste équilibre entre les besoins réels, l'estimation de chacun des besoins autour de son domicile, de son lieu de travail ou des établissements scolaires et les restrictions à la liberté d'aller et venir que ce contrôle permanent fait peser sur nos têtes.
La préfecture de Police a également proposé de revoir la réglementation de la vente à emporter d'alcool et de la consommation sur la voie publique. Désormais sur les zones Saint Sèverin et Hopital les ventes à emporter ne seraient pas autorisées de 22 heures 30 à 7 heures du matin et la consommation d'alcool sur la voie publique ne serait plus autorisée de 16 heures à 7 heures du matin. A ces deux zones, serait associée une nouvelle zone de réglementation qui irait de la Rue des écoles à la Rue Monge jusqu'à Censier et reviendrait par la Rue Mouffetard.
lundi 8 décembre 2008
Chasse aux "indésirables" hier et aujourd'hui
Le MRAP présente un court métrage de Christine Seghezzi :
Passé, présent, papiers, peur
Etre enfant dans la peur hier comme aujourd'hui
Mercredi 17 décembre 2008
20 heures
Centre Culturel La clef
21 rue de la clé 75005 Paris
suivi d'un débat avec Pierre Cordelier (RESF)
Bernadette Hétier (MRAP)
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