lundi 14 mars 2016

Place du Panthéon : rénovation, concertation...









Une troisième et ultime réunion de concertation se tenait vendredi 11 mars à la mairie du 5ème sous la présidence de la maire de l’arrondissement, dans l’étroite salle Pierrotet, propice à entasser le public et limiter ainsi l’affluence. Elle était toutefois réelle bien que les principaux usagers de la place, les étudiants et les jeunes, aient été totalement absents du public alors que ce lieu reste très fréquenté par les usagers des nombreux établissements scolaires et universitaires à proximité. L’aménagement d’une grande place méritait pourtant une grande salle ! 
Autre raté de la concertation, de la Ville cette fois. On aurait aimé écouter l’adjoint en charge de l’opération, l’élu Christophe Najdowski, et pas seulement des fonctionnaires -certes courageux- ou ne pas apprendre cinq jours avant l’ultime étape de la concertation, dans un quotidien du dimanche, le choix arrêté par la Ville. La démocratie participative est un processus toujours perfectible.

Sur le fond, la controverse s’est focalisée sur la suppression des places de parking. 
Sur 218 actuelles, 2/3 vont disparaitre soit 141 et 77 resteront. Pour Florence Berthout et les riverains, dont certains qui se considèrent comme copropriétaires de la place, c’est inacceptable. Laurent Audouin a vaillamment défendu le principe de compensation, des places vacantes de parking existant en sous-sol, et de réalité, la baisse tendancielle (2% l’an) de l’usage de la voiture à Paris, seul un habitant du 5ème sur trois en utilisant. Marie-Christine Lemardeley, peu convaincue et donc peu convaincante, a rappelé pour sa part le vote antérieur unanime du Conseil d’Arrondissement en faveur des « circulations douces », vaste concept… La disparition du garage Mercedes au droit de Jussieu a également été évoquée, mais non l’existence de places vacantes dans les copropriétés privées qu’il faudrait valoriser. 
Le stationnement des cars est une vraie plaie pour notre arrondissement. Avec les nouveaux sens de circulation, pourront-ils toujours faire le tour de place ou son côté nord sera-t-il réservé exclusivement à ceux de la RATP ? Sinon, vers où s’effectueront les reports des bus mais aussi des automobiles ? On avance un peu en aveugle. 
Le manque de stationnement pour les deux roues motorisés et de toilettes publiques ont également été cités. Car ce qui terrorise les riverains, c’est l’animation potentielle de la place, à savoir l’installation d’une « cour des miracles » (sic), et forcément, la « saleté après pique-niques »… Laurent Audouin a su élever le débat en soulignant que les aménagements matériels devaient s’inscrire dans la perspective des nouveaux usages de la Place, valorisant un édifice dont la portée dépasse les riverains directs, pour s’étendre à tout Paris et à la France

C’est précisément le manque le plus criant, non relevé pendant ce processus de concertation, sauf par Bernard Rullier, à savoir l’absence d’articulation entre les deux rénovations, celle de la place et celle du monument. Seule la projection de vidéo-poèmes a été proposée par un amoureux des lettres, François Beaujeu. On attend les propositions de la Ville et de l’Etat car la fiche internet sur le site de la place évoque « l’utilisation événementielle et la tenue de célébrations nationales » qui « peuvent être réinventées pour encourager de nouveaux usages ». Lesquelles : encore mystère…

Quant à la végétalisation, qui a suscité des ricanements du public, la partie n’est pas gagnée face aux Monuments Historiques. Seule certitude : elle sera basse… Une vigne ou une roseraie avaient pourtant été souhaitées par de jeunes grands-mères romantiques ! 

Le public s’est ému du coût, annoncé approximativement à 37-40 M€ pour les 7 places parisiennes en rénovation dont 1,5 pour le Panthéon, à mettre en rapport avec les 100 millions budgétés par l’Etat pendant dix ans pour consolider seulement le monument.

On est sorti de cette réunion un peu nostalgique. Une Ville qui annonce une concertation mais ne pousse pas très loin le débat public. Une maire d’arrondissement qui instrumentalise le dossier sur le thème « je ne suis pas entendue donc il n’y a pas de concertation », rappelant la méthode Tiberi. Des élus d’opposition moyennement combatifs. Un public focalisé sur « ses » places de parking, oubliant le précédent de la cour Napoléon du Louvre, ancien parking devenu par un geste architectural audacieux l’une des places les plus célèbres et les plus attractives du monde.

Les travaux ne se réalisant qu’en 2017-2018, ce dossier n’est pas prêt d’être refermé puisque des riverains excédés menacent la Ville de recours administratifs. Le Panthéon et sa place méritent mieux qu’une discussion sur la largeur des trottoirs.







mercredi 11 novembre 2015

Du 11 novembre au 17 janvier : la première Biennale des photographes du monde arabe contemporain





L'INSTITUT DU MONDE ARABE
LA MAISON EUROPÉENNE DE LA PHOTOGRAPHIE
PRÉSENTENT 
la première BIENNALE des photographes du monde arabe








Du 11 novembre 2015 au 17 janvier 2016, cette première édition développera un panorama singulier des photographes qui opèrent depuis le début des années 2000, dans – et sur – le monde arabe.

L'Institut du monde arabe (IMA) et la Maison européenne de la photographie organisent conjointement, jusqu'au 17 janvier, la Biennale des photographes du monde arabe contemporain. Pour sa première édition, l'événement se déploiera entre les deux institutions, d'une rive de la Seine à l'autre, avec plusieurs expositions présentées dans des galeries privées et des espaces publics partenaires de la manifestation.


"J’ai toujours considéré que la photographie était un art à part entière : elle place la qualité du regard au coeur de la vision. Elle est aussi un art à part, un art particulier : elle mobilise des points de vue différents de ceux auxquels nous habitue hélas notre environnement peuplé d’images banales. Cet « art particulier » nous propose de voir autrement les réalités changeantes du monde." 

Jack Lang
Président de l’Institut du monde arabe





LE PROJET ARTISTIQUE



L’ objectif de cette Biennale est de porter un éclairage sur les photographes contemporains qui opèrent dans le monde arabe. Beaucoup de pays occupent à divers titres aujourd’hui le devant de la scène et participent à l’écriture de l’Histoire, mais on connaît de façon encore inégale leurs artistes. Certains sont mal identifiés ou demeurent même totalement dans l’ombre.

Si ce sont en priorité les créateurs originaires des pays arabes qui seront mis en lumière dans ce projet, leurs oeuvres seront confrontées à celles de photographes occidentaux, entre autres européens, et chez lesquels une part importante de leurs travaux est liée à cette région du monde : leur parcours et leurs préoccupations autorisent souvent une vision sensiblement différente de celles et ceux qui opèrent de l’intérieur.

La programmation des expositions ne sera pas guidée par la représentation de l’actualité immédiate touchant au monde arabe. Il s’agit avant tout ici d’un projet privilégiant l’approche artistique ; et comme toute approche artistique, celle-ci implique un certain recul ainsi que du temps donné à la réflexion. Ce qui n’exclut pas pour autant les créateurs exprimant à travers leurs oeuvres un point de vue sur l’univers politique, idéologique ou religieux qui les entoure. De même qu’une place doit être réservée à celles et ceux qui aujourd’hui parlent de l’extérieur de leur pays. Car la mobilité est sans doute l’un des traits de caractère de beaucoup d’artistes du monde arabe. Les artistes exposés se feront ainsi l’écho d’un monde pluriel. Car l’enjeu de cette manifestation, du moins dans le cadre d’une première édition, n’est pas de réunir des travaux autour d’un thème particulier, même si des motifs récurrents peuvent émerger ; mais plutôt d’exprimer une diversité d’auteurs et de tendances
qui mobilisent les créateurs à l’oeuvre dans cette région du monde.

LES OPÉRATEURS DE LA BIENNALE

Cette manifestation est portée par deux grandes institutions : d’une part la Maison Européenne de la Photographie, ouverte en 1996 et dédiée essentiellement à la photographie d’aujourd’hui, et d’autre part l’Institut du monde arabe, qui depuis 1987 se consacre aux multiples facettes artistiques et culturelles des divers pays composant cette région. La complémentarité et la complicité de ces deux institutions sont le vecteur de la manifestation en même temps qu’elles feront son originalité sur la scène culturelle parisienne.

L’ORGANISATION DE L’ÉVÉNEMENT

La Biennale va se déployer géographiquement entre la MEP et l’IMA, proches l’une de l’autre mais séparées par la Seine. Elle tracera un parcours au long duquel divers lieux publics et privés (Cité internationale des Arts, Mairie du 4ème arrondissement de Paris, les galeries Binôme, Basia Embiricos, Photo 12, Graine de Photographe) ont été invités à présenter des expositions en relation avec le propos de la manifestation. Fédérant ainsi différentes initiatives, la MEP et l’IMA constitueront les deux pôles de l’événement ainsi que les moteurs de sa communication.

La MEP consacrera chacun de ses espaces à des expositions monographiques se rattachant au thème de la Biennale et l’IMA, deux grandes galeries qui accueilleront une exposition collective réunissant près de trente photographes. Plusieurs rencontres et projections seront programmées autour des travaux des artistes exposés (à la MEP et à la Cité internationale des Arts).

Un catalogue co-édité par l’IMA et Snoeck réunira une sélection d’oeuvres représentatives figurant dans le programme de la Biennale en même temps qu’il contribuera par des textes à en renforcer l’identité. Il permettra de répondre à certaines questions concernant les photographes du monde arabe : qui sont-ils, qui sont-elles ? Comment travaillent-ils ? D’où parlent-ils ? De quelles traditions photographiques et artistiques sont-ils issus ?

Gabriel Bauret
Commissaire général






Institut du Monde Arabe
1, rue des Fossés-Saint-Bernard
Place Mohammed-V 75005 Paris





jeudi 8 octobre 2015

Fête de la Science sur le Campus Jussieu : rallye mathématique et conférences le samedi 10 octobre



Fête de la Science

Pleins feux sur les maths !

Les mathématiciens et mathématiciennes 
de l'université Pierre et Marie Curie 
et de l'université Paris Diderot 
fêtent la science !



Les mathématiques font progresser la connaissance dans des directions bien différentes de celles que l'on attend ! Notre objectif est de montrer des mathématiques vivantes, leurs racines profondes, leurs ramifications sans cesse en évolution.



Conférence
Michel RIGO : un peu de Mathémagie







A l'issue du rallye mathématique aura lieu une conférence de mathématique grand public (à partir du collège) ne nécessitant pas d'inscriptions.
Pour l'édition 2015 de la Fête de la science, nous avons le plaisir d'accueillir Michel Rigo (Université de Liège).

Michel Rigo réalisera avec l'aide des participants une sélection de tours de magie : tours de cartes, mentalisme, divination, le tour du barman aveugle avec des gants de boxe, etc. Ceux-ci seront ensuite développés. En effet, contrairement au magicien qui ne dévoile jamais ses secrets, ici, nous verrons que ces tours reposent sur diverses propriétés et constructions mathématiques. Ces dernières peuvent déboucher sur de véritables questions de recherche actuelle et même sur de possibles applications en robotique et automatisation ! Il y en aura donc pour tous les goûts… et tous les niveaux (suivant les attentes de l'auditoire, l'exposé sera adapté au niveau des participants et ce, dès l'entrée au collège).


Date
Samedi 10 octobre 2015 de 17h45 à 18h45, après le rallye mathématique.
Lieu
Campus de Jussieu, Amphi 24 
Université Pierre et Marie Curie
4, place Jussieu - 75252 Paris cedex 05

Vous pouvez consulter le plan du campus de Jussieu avec l'emplacement des différents stands du rallye mathématique et de la conférence.





Bar des Sciences au Muséum : le climat, comment ça marche ? Débat le 11.10.2015 à 17h30



Le 11.10.2015 à 17 h 30
au Café-restaurant La Baleine

Le Muséum propose de décrypter les principaux mécanismes du changement climatique





À la veille des grands enjeux politiques de la 21e conférence sur le climat à Paris, le Muséum propose de décrypter les principaux mécanismes du changement climatique. Quel est le rôle de l’atmosphère ou de l’océan ? Peut-on prédire les changements climatiques ? Quels impacts sur la biodiversité ?








Invités 
Sandrine Bony, spécialiste de la modélisation des climats, IPSL
Françoise Gaill, océanographe 
François Sarrazin, océanographe, coordinatrice du comité scientifique de la plateforme Océan-climat, CNRS
François Sarrazin, écologue, UPMC-Muséum

Débat animé par Marie-Odile Monchicourt, journaliste





RENSEIGNEMENTS
Le 11.10.2015 à 17 h 30
Café-restaurant La Baleine
Bus : Lignes 24, 57, 61, 63, 67, 89, 91
Métro, RER : Ligne 5 Gare d’Austerlitz, Ligne 7 Censier Daubenton, Ligne 10 Jussieu ou Gare d’Austerlitz, RER C Gare d’Austerlitz
01 40 79 56 01 / 54 79 (10h-18h)





mardi 6 octobre 2015

A partir du 7 octobre 2015 : Robert Doisneau, un photographe au Muséum...




Robert Doisneau réalise deux reportages 
Le premier dans les années 1942-1943, 
le second en 1990. 
Plus d’une centaine d’images tirées de ces reportages,  
sont dévoilées pour la première fois au public.










A l’occasion d’une grande rétrospective de Robert Doisneau, le Muséum national d'Histoire naturelle réunit plus d’une centaine de photographies largement inédites. 

Située aux 2ème et 3ème étages de la Grande Galerie de l’Évolution, écrin dédié aux sciences naturelles au cœur du Jardin des Plantes, l’exposition dévoile 128 photographies et 35 planches contacts. Pour la plupart jamais vues du public, ces images sont tirées de deux reportages dévoilant le Muséum sous ses différentes facettes : l’un mené en 1942-1943 ; l’autre en 1990. Les photographies exposées font parties en majorité (111 sur 128) de la collection iconographique du Muséum national d’Histoire naturelle (fonds Doisneau composé de 159 images). Des photographies et planches
contacts prêtées par l’Atelier Robert Doisneau viennent compléter cette sélection.

Quant aux huit thématiques choisies, elles amènent le public dans les recoins du Muséum, là même où Robert Doisneau s’aventura avec son appareil : Musée de l’Homme, Vertébrés, Herbier et graineterie, Minéralogie et Paléontologie, Zoo et Ménagerie, Entomologie, Serres et cultures, Publics.

Une exposition en grande partie inédite donc qui raconte l’attrait d’un photographe pour le monde des sciences. Et plus spécifiquement des sciences au Muséum : ses chercheurs, ses laboratoires, ses jardins, ses galeries… Un professeur entouré d’une montagne d’épais ouvrages ? Non, des dizaines d’herbiers dans un des laboratoires des années 40… Une échelle au milieu de la forêt tropicale ? Non plus... Un jardinier s’affairant dans les grandes serres du Jardin des Plantes. Robert Doisneau nous offre ici, un point de vue transversal, énigmatique et inattendu, sur ce qui forme cette institution.

Et c’est naturellement au cœur de la Grande Galerie de l’Évolution, que sont exposées les 128 photographies et 35 planches contacts issues du fonds Doisneau du Muséum et de l’Atelier Robert Doisneau. Les huit thématiques choisies permettent alors de guider les visiteurs dans les lieux mêmes où Robert Doisneau posa son appareil : Musée de l’Homme, Vertébrés, Herbier et graineterie, Minéralogie et Paléontologie, Zoo et Ménagerie, Entomologie, Serres et cultures, Publics.

Exposition Robert Doisneau, un photographe au Muséum
Du 7 octobre 2015 au 18 janvier 2016



Muséum National d'Histoire Naturelle
Grande Galerie de l'Evolution
36, rue Geoffroy Saint-Hilaire
75005 Paris





lundi 5 octobre 2015

Le mardi 6 octobre à 18h30, réunion publique à la Mairie du 5ème pour le réaménagement de la place de la Contrescarpe




Florence Berthout, Maire du Ve et les élus de l’arrondissement vous convient à une Réunion publique 

le mardi 6 octobre 2015 à 18h30 
pour le réaménagement de la place de la Contrescarpe





Ouverte en 1852, son nom lui vient du voisinage de l'ancienne rue de la Contrescarpe-Saint-Marcel,
aujourd'hui rue Blainville,
à cause de la contrescarpe des anciens remparts de Philippe-Auguste.


Informations pratiques 
Mairie du Ve
21, Place du Panthéon
75005 Paris
Tél : 01 56 81 75 05

Rencontres et Débats à l'Institut du Monde Arabe - L’altérité en question : échange entre Emmanuel Todd et Omar Benlaala




L’altérité en question
Echange entre 
Emmanuel Todd et Omar Benlaala
le jeudi 8 octobre à 18h30








L’un est historien, philosophe et géographe ; il s’est illustré en avançant des thèses, dans différents domaines, largement commentées et débattues. Son dernier opus, Qui est Charlie ? (éditions du Seuil), un succès de librairie, a fait l’objet d’une polémique qui n’est pas prête de finir. L’autre, un « ancien barbu », est venu à l’écriture pour exorciser ses années d’errements. Dans son roman la Barbe, paru aux éditions du Seuil, il entreprend, avec humour, un retour décapant sur ses années de rave et de prêche. Au cour de cette séance, ils engagent un débat frontal et sans fioritures sur les questions des origines, de l’altérité, de la religion et de la violence, ainsi que sur la question épineuse : « que veut dire être Français aujourd’hui? ».

Rencontre animée par Akram Belkaïd, journaliste indépendant, travaillant avec Le Quotidien d’Oran, Afrique Magazine, Géo et Le Monde Diplomatique, auteur de l’ouvrage Etre arabe aujourd’hui (éd. Carnets Nord, 2011) 


Informations pratiques
Quand Jeudi 8 octobre, à 18h30
Où Salle du Haut Conseil, 9ème étage
Combien Entrée libre dans la limite des places disponibles


Institut du Monde Arabe
1, rue des Fossés-Saint-Bernard
Place Mohammed-V 
75005 Paris





vendredi 2 octobre 2015

Samedi 3 octobre : la Nuit Blanche dans le 5ème







Centre culturel irlandais

De George Bolster à Brigitta Varadi
Et si on s’était trompé ? (Exposition / Photographie / Vidéo)
Et si, en mesurant le progrès par l’industrialisation, l’expansion et l’accumulation, on s’était trompé ? Cette exposition multiforme réunit le travail d’une quinzaine d’artistes, qui tous explorent les impacts de notre société et de notre économie globalisée sur l’environnement et les changements climatiques.
Les artistes : George Bolster, Mark Clare, Alice Clark, Blaise Drummond, Seamus Dunbar, John
Gerrard, Andrew Kearney, Susan Leen, Ruth Le Gear, Christine Mackey, Selma Makela, Anna McLeod, Softday (Sean T aylor & Mikael Fernstrom) et Brigitta Varadi.

5, rue des Irlandais 75005
Place Monge - Cardinal Lemoine
RER Luxembourg
De 19h00 à 02h00
Site accessible pour les personnes en fauteuil en autonomie


Collège des Bernardins

François Sarhan
Éphémère Glacé (Performance Musicale)
François Sarhan, l’une des figures les plus iconoclastes de la scène musicale française, nous entraîne dans un labyrinthe psychédélique et kafkaïen. Son projet invente un nouveau rapport avec le public, selon les caprices d’une météo musicale qui déjoue tous les baromètres : chacun est invité à être le héros de cette dramaturgie imaginaire, garant d’une certaine forme d’écologie sonore.

20, rue de Poissy 75005
Maubert Mutualité - Cardinal Lemoine
RER Cluny La Sorbonne
de 21h00 à 02h00
Site accessible pour les personnes en fauteuil en autonomie


Institut du Monde Arabe

Cousu Main (Soie et velours, magie d’Orient Exposition / Couture)
Le raffinement et le chatoiement des étoffes évoquent l’Orient, proche ou lointain. L’exposition « Cousu Main » invite à découvrir des gilets et des caftans réalisés par des femmes en milieu carcéral autour desquels elles racontent leur ou une histoire. Le visiteur approche ensuite des soieries, velours et cotonnades dans un parcours ludique et sensoriel.

Musée, Place Mohammed V, 75005
De 19H00 à 00H00
Site accessible pour les personnes en fauteuil en autonomie



Le programme à Paris sur http://www.paris.fr










lundi 28 septembre 2015

Centre Culturel Irlandais : Ciné-concert de Lioba Petrie et balades sonores de Fiona Hallinan le mercredi 30 septembre à 19h30





Lioba Petrie a composé une nouvelle musique pour le court-métrage de science-fiction français La Jetée. Puis Fiona Hallinan nous fera entendre Heterodyne : Périphérique, une bande-son spécifiquement créée pour le boulevard périphérique parisien. Elle nous fera également découvrir son application Inside.


Mercredi 30 sept à 19h30
Entrée libre



Image: gauche - Ruin Peripherique by Fiona Hallinan, droit - Lioba Petrie et La Jetée



Ciné-concert de Lioba Petrie : La Jetée

Membre du collectif dublinois 3epkano, la violoncelliste Lioba Petrie écrit et interprète des bandes originales de classiques du cinéma muet, films d'animation et courts métrages. Au cours de sa résidence, elle composera une nouvelle musique pour le film de science-fiction français La Jetée. Ce court métrage réalisé en 1962 par Chris Marker - considéré par beaucoup comme un chef d’œuvre – sera projeté ce soir, accompagné en direct par Lioba.

Balades sonores de Fiona Hallinan

Puis Fiona Hallinan nous fera entendre Heterodyne: Périphérique, une bande-son spécifiquement créée pour le boulevard périphérique parisien, enrichie par la musique live de Margie Jean Lewis(voix) et Brian Walsh (batterie) et les images de Tadhg O’Sullivan, cinéaste actuellement en résidence au CCI. Seront également dévoilés des extraits d’Inside, une promenade sonore à la découverte du quartier (voir ci-dessous), réalisée par Fiona à la deman

Inside
Démarrant et s’achevant au CCI, cette balade sillonne le 5ème arrondissement de Paris et ses alentours. Sur un script original de Fiona Hallinan, l’itinéraire est construit autour de sons enregistrés en extérieur par Davy Kehoe. L’application mobile Inside, développée par John Callaghan, sera téléchargeable à partir du 1 octobre sur la page d’accueil. Elle pourra être écoutée en continu (env. 60 mn) ou par chapitres.





Centre Culturel Irlandais
5 rue des Irlandais
75005 Paris





FILM & DÉBAT à l’initiative de la section Paris 5e-13e de la LIGUE DES DROITS DE L’HOMME « LES RÈGLES DU JEU » Mardi 29 septembre 2015, à 20h15








FILM & DÉBAT

à l’initiative de la section Paris 5e-13e de la 

LIGUE DES DROITS DE L’HOMME



« LES RÈGLES DU JEU »

Un documentaire de Claudine Bories et Patrice Chagnard

Mardi 29 septembre 2015, à 20h15

Le débat qui suivra sera animé par les réalisateurs, 

Claudine BORIES et Patrice CHAGNARD.




« Lolita n’aime pas sourire. Kevin ne sait pas se vendre. Hamid n’aime pas les chefs. Ils ont vingt ans, ils sont sans diplôme, ils cherchent du travail. Pendant six mois, les coaches d’un cabinet de placement vont leur enseigner le comportement et le langage qu’il faut avoir aujourd’hui pour décrocher un emploi… »

« Pour nous, dit P. Chagnard, le véritable sujet du film, c’est la question du langage. C’est l’abîme entre les mots codés de l’entreprise…, et la parole des jeunes, ou leur absence de parole, qui nous renvoie à un tout autre monde culturel. »


Cinéma La Clef 
21, rue de la Clef 
75005 Paris
(M° Censier-Daubenton - bus 27,67,89)
tarifs : 7, 50 Euros, TR 6 Euros. CUGC Illimité et Le Pass acceptés.

Ligue des Droits de l’Homme Paris 5-13 
Maison des associations BP 36
11, rue Caillaux 
75013 Paris 
06 42 72 87 63