Le conseil d'arrondissement du 6 octobre s'est déroulé devant une assistance clairsemée, les troupes ayant été épuisées par la longueur du précédent... L'effort de concision est un art difficile en politique. Madame la Maire s'engage cependant à faire plus court.
Les traces de la désunion de la droite aux dernières élections municipales sont encore visibles. Les plaies ne sont pas cautérisées.
Des vœux rendus publics à la dernière minute
Le procès-verbal de la séance du 15/09/14 est adopté à l'unanimité après que M. Laurent Audoin ait fait remarquer la forme déplaisante de certaines expressions et que Mme la Maire ait concédé qu'un effort devait être fait pour que le compte-rendu soit moins littéral (et plus littéraire ?). Tout est dans le ton...
Puis, Madame la Maire explique que les voeux présentés lors de ce conseil n'ont pas été mis à l'ordre du jour et que les élus vont les trouver sur les tables et auront la possibilité de demander une suspension de séance pour les étudier : il y a le ton et la manière... Et on ne fait pas dans la dentelle, définitivement, on n'a pas opté pour l'élégance : le public de citoyens attentifs à la vie de leur arrondissement n'a qu'à se débrouiller pour suivre les débats, d'ailleurs que font-ils là ?
Dans le 5e, les élus de la majorité ont trouvé un combat qui les unit au-delà de leurs divergences pourtant nombreuses : résister à l'envahisseur ! Car, comme à chaque fois que la Droite n'est pas au pouvoir, elle ne cherche pas les raisons de la désapprobation des électeurs, mais elle se persuade que la Gauche y est par effraction !
Sans être capable de se remettre en cause, le groupe majoritaire du 5e opte pour une critique constante et maladive de la politique menée par la majorité élue à la Ville de Paris, que ses trois représentants (Marie-Christine Lemardeley, Laurent Audoin et Lyne Cohen-Solal) au sein du Conseil d'arrondissement du 5e, ont bien du mal à mettre en avant, sans se faire "ramasser" !
Le ton est donc donné.
Dans le 5e, les élus de la majorité ont trouvé un combat qui les unit au-delà de leurs divergences pourtant nombreuses : résister à l'envahisseur ! Car, comme à chaque fois que la Droite n'est pas au pouvoir, elle ne cherche pas les raisons de la désapprobation des électeurs, mais elle se persuade que la Gauche y est par effraction !
Sans être capable de se remettre en cause, le groupe majoritaire du 5e opte pour une critique constante et maladive de la politique menée par la majorité élue à la Ville de Paris, que ses trois représentants (Marie-Christine Lemardeley, Laurent Audoin et Lyne Cohen-Solal) au sein du Conseil d'arrondissement du 5e, ont bien du mal à mettre en avant, sans se faire "ramasser" !
Le ton est donc donné.
Budget du 5ème : une transparence améliorable
Les « États spéciaux d'arrondissement » constituent notre modeste budget local. La délibération présentée par M. Casanova adoptée à l'unanimité.
Mme Cohen-Solal interpelle Mme la Maire afin de savoir si elle a déposé le projet de budget du 5e auprès du Conseil de Paris. En effet, elle s'étonne que les orientations budgétaires ne soient jamais discutées en Conseil d'Arrondissement avant d'être votés. Mme Berthout concède que cela pourrait être fait. Mais M. Tibéri cherche à polémiquer avec l'opposition en faisant remarquer que l'utilisation du budget n'a jamais procédé d'un vote. Il affirme aussi que la Ville de Paris n'a jamais répondu à aucun voeu présenté par le 5e dans toute la mandature précédente.
Mme Cohen-Solal interpelle Mme la Maire afin de savoir si elle a déposé le projet de budget du 5e auprès du Conseil de Paris. En effet, elle s'étonne que les orientations budgétaires ne soient jamais discutées en Conseil d'Arrondissement avant d'être votés. Mme Berthout concède que cela pourrait être fait. Mais M. Tibéri cherche à polémiquer avec l'opposition en faisant remarquer que l'utilisation du budget n'a jamais procédé d'un vote. Il affirme aussi que la Ville de Paris n'a jamais répondu à aucun voeu présenté par le 5e dans toute la mandature précédente.
Notre arrondissement compte 108 équipements de proximité pour 2015. Leurs budgets déconcentrés alloués aux mairies d'arrondissement. Leur inventaire, mis à jour, est voté à l’unanimité.
Rythmes scolaires : la droite concède
En approuvant la convention d'occupation du domaine public entre la DASCO (Direction des Affaires Scolaires) et la Caisse des Écoles permettant l'occupation et l'utilisation d'espaces tels que les réfectoires pour les activités dans le cadre de l'ARE (Aménagement des Rythmes Educatifs), et malgré quelques réserves sur le respect des conditions d'hygiène, la majorité municipale du 5e se résout à reconnaître la réforme des rythmes scolaires.
Travaux de fermeture des alcôves du gymnase des Patriarches
Mme la Maire indique que c'est un dispositif de parois de verre qui a été retenu pour fermer sous les arcades et lutter ainsi contre les déjections en tout genre. Ce dispositif est moins coûteux et plus esthétique. Cette solution est adoptée à l'unanimité.
Théâtre de la Marionnette
Subvention de 31608 € pour l'acquisition d'équipements son et lumière adaptés à la marionnette et pour la réfection de l'accueil et de la billetterie de cette nouvelle installation culturelle de notre arrondissement créé à l’initiative de la Ville.
Sans même réfléchir à l'intérêt du public, M. Baetche annonce qu'il votera contre, car la Ville de Paris n'a pas fourni de pièces comptables. M. Soppelsa lui emboîte le pas. Mme Berthout s'étonne que les sommes en question soient en investissement et non en fonctionnement. Mme Lemardeley justifie cet investissement en s'appuyant sur les documents fournis indiquant l'utilisation prévue de cette somme. Mais, puisque le Théâtre de la Marionnette est une initiative de la Ville de Paris, la majorité municipale du 5e tient à le remettre en cause. Ainsi 5 élus de la majorité votent contre, Mmes Lemardeley et Cohen-Solal votent pour, M. Audoin s'abstient avec Mme Berthout et M. Casanova, comme le reste de l'assemblée.
Sans même réfléchir à l'intérêt du public, M. Baetche annonce qu'il votera contre, car la Ville de Paris n'a pas fourni de pièces comptables. M. Soppelsa lui emboîte le pas. Mme Berthout s'étonne que les sommes en question soient en investissement et non en fonctionnement. Mme Lemardeley justifie cet investissement en s'appuyant sur les documents fournis indiquant l'utilisation prévue de cette somme. Mais, puisque le Théâtre de la Marionnette est une initiative de la Ville de Paris, la majorité municipale du 5e tient à le remettre en cause. Ainsi 5 élus de la majorité votent contre, Mmes Lemardeley et Cohen-Solal votent pour, M. Audoin s'abstient avec Mme Berthout et M. Casanova, comme le reste de l'assemblée.
Quand l’hommage inattendu de Dominique Tiberi à Lyne Cohen-Solal masque un coup de griffe à Florence Berthout
A l’occasion d’un débat concernant les marchés découverts alimentaires, Mme Cohen-Solal met en avant le fait que les DSP (Délégations de Service Public) ont été réduites à 4 ans (au lieu de 6 ans auparavant) afin de favoriser une meilleure gestion et plus de transparence. Il est intéressant que les Conseils de Quartiers se saisissent du suivi des marchés. Mme la Maire regrette que la Ville de Paris n’ait pas retenu le 5e dans l’expérimentation prévue. Elle souhaiterait renégocier les exigences préconisées concernant la remise en propreté après les marchés, notamment elle demande l’implantation de compacteurs. Cette demande fait l’objet d’un voeu de la majorité du 5e. Or l’opposition signale par la voix de L. Audoin que les compacteurs sont prévus dans le projet de la Ville de Paris ! De fait, le voeu étant caduque, Mme la Maire propose de le retirer.
A propos du nouveau règlement des marchés découverts alimentaires, M. Audoin note les progrès réalisé en termes de rapprochement producteurs/consommateurs avec la priorité donnée aux circuits courts.
L’ensemble des élus toutes tendances confondues s’inquiète de l’implantation de « food trucks », qui concurrencent les étals de vente à emporter ou les petites brasseries de proximité, et dénonce le vide juridique qui existe actuellement.
Mme Cohen-Solal précise que ces food trucks sont interdits dans les marchés de Paris. Mme Berthout indique que les maires d’arrondissement, en tout cas, devraient être consultés avant qu’une autorisation soit dispensée à un food truck. M. Beatche intervient pour signaler que l’expression « food truck » n’est pas française et qu’en application de la loi de Toubon de 2001 on pourrait faire annuler cette délibération ! Mme la Maire passe sur cette fine remarque pour proposer un amendement à cette délibération précisant que l’implantation des food trucks doit être soumise à l’avis des maires d’arrondissement.
M. Tibéri intervient pour souligner les capacités d’écoute dont Mme Cohen-Solal a fait preuve lorsqu’elle exerçait son mandat d’adjointe au maire de Paris chargée du commerce, de l’artisanat, des professions indépendantes et des métiers d’art. L’assistance lance des « ooooh ! » admiratifs devant le comportement étonnamment bienveillant de M. Tibéri à l’encontre de Mme Cohen-Solal, alors qu’il ne s’agit probablement que de se désolidariser de Madame la Maire… Tout est dans le ton ! Finalement, le nouveau règlement est voté à l’unanimité.
L’ensemble des élus toutes tendances confondues s’inquiète de l’implantation de « food trucks », qui concurrencent les étals de vente à emporter ou les petites brasseries de proximité, et dénonce le vide juridique qui existe actuellement.
Mme Cohen-Solal précise que ces food trucks sont interdits dans les marchés de Paris. Mme Berthout indique que les maires d’arrondissement, en tout cas, devraient être consultés avant qu’une autorisation soit dispensée à un food truck. M. Beatche intervient pour signaler que l’expression « food truck » n’est pas française et qu’en application de la loi de Toubon de 2001 on pourrait faire annuler cette délibération ! Mme la Maire passe sur cette fine remarque pour proposer un amendement à cette délibération précisant que l’implantation des food trucks doit être soumise à l’avis des maires d’arrondissement.
M. Tibéri intervient pour souligner les capacités d’écoute dont Mme Cohen-Solal a fait preuve lorsqu’elle exerçait son mandat d’adjointe au maire de Paris chargée du commerce, de l’artisanat, des professions indépendantes et des métiers d’art. L’assistance lance des « ooooh ! » admiratifs devant le comportement étonnamment bienveillant de M. Tibéri à l’encontre de Mme Cohen-Solal, alors qu’il ne s’agit probablement que de se désolidariser de Madame la Maire… Tout est dans le ton ! Finalement, le nouveau règlement est voté à l’unanimité.
Extension de l’amplitude horaire d’ouverture des équipements sportifs municipaux : le gymnase Buffon pilote de l’expérimentation
M. Soppelsa rappelle les réserves déjà exprimées par la majorité du 5e, quant au manque de concertation et au fait que la sécurité ne serait pas bien assurée, si elle relève de la seule responsabilité des associations vu qu’il n’y aura pas de personnels de la Ville de Paris à ces horaires tardifs. Une expérimentation est lancée : c’est le gymnase Buffon qui a été retenu (comme quoi la Ville de Paris ne néglige pas toujours le 5e…)
Mme la Maire précise qu’une convention est passée avec le Tennis club et l’AS Arènes-Volley. M. Soppelsa précise qu’un élément de sécurité supplémentaire existe puisque la Préfecture est saisie. Néanmoins M. Tibéri, insiste sur le fait qu’il préfère s’abstenir car il achoppe encore sur le manque de surveillance et se lance dans un plaidoyer en faveur des personnels de la Ville de Paris (Ce nouveau positionnement en faveur des revendications syndicales des personnels peut en déconcerter plus d’un ?!)
M. Audoin salue l’évolution positive de M. Soppelsa, qui accepte maintenant l’idée que l’on puisse confier un lieu à une association qui s’en porte garante… et reconnaît par là le rôle citoyen des responsables associatifs! Il regrette simplement que les piscines aient été exclues de ce dispositif expérimental.
M. Casanova déclare aussi que Paris ne doit pas se muséifier et doit s’adapter au mode de vie moderne des parisiens.
A part 1 abstention et 1 vote contre, l’ensemble du CA vote pour cette délibération.
Mme la Maire précise qu’une convention est passée avec le Tennis club et l’AS Arènes-Volley. M. Soppelsa précise qu’un élément de sécurité supplémentaire existe puisque la Préfecture est saisie. Néanmoins M. Tibéri, insiste sur le fait qu’il préfère s’abstenir car il achoppe encore sur le manque de surveillance et se lance dans un plaidoyer en faveur des personnels de la Ville de Paris (Ce nouveau positionnement en faveur des revendications syndicales des personnels peut en déconcerter plus d’un ?!)
M. Audoin salue l’évolution positive de M. Soppelsa, qui accepte maintenant l’idée que l’on puisse confier un lieu à une association qui s’en porte garante… et reconnaît par là le rôle citoyen des responsables associatifs! Il regrette simplement que les piscines aient été exclues de ce dispositif expérimental.
M. Casanova déclare aussi que Paris ne doit pas se muséifier et doit s’adapter au mode de vie moderne des parisiens.
A part 1 abstention et 1 vote contre, l’ensemble du CA vote pour cette délibération.
ESCPI : une polémique stérile
Sur un avenant au marché d’assistance à ouvrage et après avoir souligné qu’il s’agit d’un projet de qualité, Mme la Maire démonte le projet de la Ville de Paris point par point et sollicite Mme Lemardeley pour obtenir des éclaircissements. Tout est dans le ton…
Mme Lemardeley s’étonne que cette délibération fasse polémique puisqu’il ne s’agit que d’une régularisation d’ordre technique. D’ailleurs, Mme Lemardeley signale qu’elle a sollicité Mme Berthout à plusieurs reprises par mails pour lui proposer une présentation, mais que cette dernière n’a jamais répondu. Comble de la mauvaise foi, Mme la Maire s’emporte et prétend ne pas comprendre cette délibération ! Mme Lemardeley l’invite à « garder ses nerfs ». Alors que Mme Berthout déclare qu’elle refuse de voter ce projet sous cette forme, Mme Cohen-Solal lui rétorque que personne du 5e n’a jamais siégé à la commission d’appel d’offre, donc les élus de la majorité du 5e sont bien mal placés pour juger de la validité juridique de cette proposition.
M. Baeche interrompt le débat pour proclamer que la Ville de Paris commet un délit si elle fait voter une délibération sur un appel d’offre déjà passé… La délibération obtient les 3 votes favorables de l’opposition municipale, tout le reste du conseil s’abstient… Et pourtant, tous s’accordent sur la qualité du projet : tout est dans le ton !
Mme Lemardeley s’étonne que cette délibération fasse polémique puisqu’il ne s’agit que d’une régularisation d’ordre technique. D’ailleurs, Mme Lemardeley signale qu’elle a sollicité Mme Berthout à plusieurs reprises par mails pour lui proposer une présentation, mais que cette dernière n’a jamais répondu. Comble de la mauvaise foi, Mme la Maire s’emporte et prétend ne pas comprendre cette délibération ! Mme Lemardeley l’invite à « garder ses nerfs ». Alors que Mme Berthout déclare qu’elle refuse de voter ce projet sous cette forme, Mme Cohen-Solal lui rétorque que personne du 5e n’a jamais siégé à la commission d’appel d’offre, donc les élus de la majorité du 5e sont bien mal placés pour juger de la validité juridique de cette proposition.
M. Baeche interrompt le débat pour proclamer que la Ville de Paris commet un délit si elle fait voter une délibération sur un appel d’offre déjà passé… La délibération obtient les 3 votes favorables de l’opposition municipale, tout le reste du conseil s’abstient… Et pourtant, tous s’accordent sur la qualité du projet : tout est dans le ton !
La droite contre l’augmentation de la taxe de séjour dans les palaces
C’est un nouveau point de friction entre la mairie du 5e et la Ville de Paris. En effet, Mme Berthout s’oppose à cette augmentation, estimant qu’il s’agit là d’un signe très négatif envoyé aux touristes, sans jamais évoquer les chiffres qui vont de 4 à 8 euros par nuit ! Elle estime qu’un millier d’établissements sont concerné à Paris par cette augmentation. En ce qui concerne le 5e, on dénombre 39 trois étoiles et 13 quatre étoiles, près de la moitié des établissements hôteliers du 5e seraient touchés. Une nouvelle fois, Mme Berthout déclare être victime d’un manque de concertation.
M. Audoin se déclare « abasourdi par ce voeu ». Il invite à rapporter la modeste somme correspondant à l’augmentation proposée au prix d’une chambre dans un hôtel 3 ou 4 étoiles à Paris, pour constater qu’il s’agit d’une somme très faible, ne modifiant que très peu le coût et ne risquant pas de décourager les touristes. D’ailleurs, il fait remarquer que la taxe de séjour n’avait pas été augmentée depuis des années et il invite à ne pas céder au lobbying des hôteliers.
Fidèle à ses convictions, M. Casanova rappelle que les taux de prélèvements obligatoires sont trop élevés en France.
Ce voeu est approuvé par la majorité, tandis que les élus de l’opposition s’y opposent naturellement !
M. Audoin se déclare « abasourdi par ce voeu ». Il invite à rapporter la modeste somme correspondant à l’augmentation proposée au prix d’une chambre dans un hôtel 3 ou 4 étoiles à Paris, pour constater qu’il s’agit d’une somme très faible, ne modifiant que très peu le coût et ne risquant pas de décourager les touristes. D’ailleurs, il fait remarquer que la taxe de séjour n’avait pas été augmentée depuis des années et il invite à ne pas céder au lobbying des hôteliers.
Fidèle à ses convictions, M. Casanova rappelle que les taux de prélèvements obligatoires sont trop élevés en France.
Ce voeu est approuvé par la majorité, tandis que les élus de l’opposition s’y opposent naturellement !
Le retour de la question de la propreté
Mme la Maire, fidèle à son camp, dénonce «la constante dégradation de la propreté à Paris ». Un voeux est présenté par Mme Hautval, qui note au passage que les déjections canines ont diminué. La politique de la Ville de Paris serait donc efficace ?! La majorité municipale du 5e réclame pourtant plus de brigades vertes, souhaite que des sanisettes soient installées en lieu et place des cabines téléphoniques qui sont retirées au fur et à mesure et, afin de lutter contre les dépôts sauvages, demande qu’une déchetterie de proximité soit créée.
Mme Lemardeley rappelle que la Ville de Paris favorise la cogestion avec chaque arrondissement, dans le cadre du Plan propreté. Or, elle note que le 5e n’a jamais signé ce plan ! Par exemple, la mise en oeuvre des Brigades vertes fait partie de la feuille de route pour 2015 de Mao Péninou.
M. Tibéri se plaint que chaque mairie doive endosser la pénurie de moyens engendrée par la politique de la Ville de Paris : il estime ainsi que ces moyens ont diminué de 30% sur la mandature de M. Delanoë et demande le rétablissement des moyens de 2001, se désespérant de la fin des « motocrottes ». Plus sérieusement, M. Isare demande que les dispositifs innovants proposés par la Ville de Paris soient expérimentés dans le 5e. Encore une fois, M. Audoin rappelle qu’il suffirait que tous acceptent de travailler conjointement au sein du plan propreté !
Mme Lemardeley rappelle que la Ville de Paris favorise la cogestion avec chaque arrondissement, dans le cadre du Plan propreté. Or, elle note que le 5e n’a jamais signé ce plan ! Par exemple, la mise en oeuvre des Brigades vertes fait partie de la feuille de route pour 2015 de Mao Péninou.
M. Tibéri se plaint que chaque mairie doive endosser la pénurie de moyens engendrée par la politique de la Ville de Paris : il estime ainsi que ces moyens ont diminué de 30% sur la mandature de M. Delanoë et demande le rétablissement des moyens de 2001, se désespérant de la fin des « motocrottes ». Plus sérieusement, M. Isare demande que les dispositifs innovants proposés par la Ville de Paris soient expérimentés dans le 5e. Encore une fois, M. Audoin rappelle qu’il suffirait que tous acceptent de travailler conjointement au sein du plan propreté !
Ainsi s’achève ce Conseil d’arrondissement devant un parterre clairsemé et un peu déconcerté par l’habituelle guéguerre que livre hargneusement les élus de la majorité du 5e contre la Politique de la Ville de Paris…