L'idée de la mise en place de ce groupe de travail
revient au groupe EELV, qui pourrait se trouver en situation d'arbitre en mars,
en cas de coalition entre le Front de Gauche, l'UMP et l'UDI.
Le
maire PS de Paris, Bertrand Delanoë, avait redit en ouvrant le débat son
souhait de mener la concertation la plus large avant le mois de mars, tout en
maintenant son objectif de voir s'appliquer la réforme dès 2013.
"La Ville de Paris change de ton. Elle constate qu'elle est dans une impasse sur le dossier des rythmes scolaires. (...) Ils seront obligés de reporter", a déclaré à l'AFP le président du groupe PCF-PG Ian Brossat, qui a de nouveau mis en garde contre les "effets désastreux" d'une "rentrée qui se passe mal" avant les élections municipales de mars 2014.
Le
groupe UMP a de son côté jugé "impossible" la mise en oeuvre de la
réforme dès 2013, et dénoncé une concertation bâclée et une mesure non
financée.