Attention, c’est
un début des sujets au fond sont abordés
mais pas encore traités.
Même si les
textes indiquent que cette mise à disposition relève de la gestion du conseil
d’arrondissement, les élus de gauche conviennent qu’il est normal que le Maire
gère ces conventions dans la mesure où un suivi régulier et circonstancié de ces
mises à dispositions leur soit fait. Mais Jean Tiberi met à l’ordre de jour que
le traitement des vœux souvent et se garde bien d’informer l’ensemble des élus
sur les actions menées sous sa direction.
Naturellement
Jean Tiberi a indiqué que toutes les conventions étaient à disposition des élus
au secrétariat général mais il a toujours refusé de les donner. M. Baetche
indique théâtralement indique que l’accès à la « Maison du peuple »
ne pouvait qu’être gratuit. Cela se discute et s’étudie notamment en période de
crise.
Le vote
d’une subvention de gestion à un
établissement qui bénéficie de ressources de mécénat et de fonds propres
importants a permis de se poser la question de la pérennisation des
subventions, de l’adéquation des montants octroyés au regard de la santé
financière et de l’intérêt économique, culturel
et social de l’association.
Etienne
Dolet a demandé ces dernières semaines qu’un point général des subventions
octroyées soient fait, que l’on définisse les critères d’octroi qui président à
la présentation des dossiers et que l’on définisse pour combien de temps on s’engage
à aider une association sachant que cela ne peut-être sans limite de durée.
En cette période
de crise, les élus doivent justifier l’utilisation des fonds publics. Le maire
d’arrondissement a promis qu’un conseil sera consacré à une réflexion sur le
sujet des subventions.
Dominique
Tiberi évoque l’inquiétude des
commerçants face aux obligations de mise aux normes d’accessibilité pour les
personnes handicapées. Il est vrai que sur internet 5etienne a essayé) il n’est
pas simple de trouver de l’aide. Lyne Cohen-Solal conseille de les adresser à la
Chambre de commerce et d’industrie de Paris et indique que dans certains cas il
est possible de demander à la Préfecture des dérogations.
En dernier
lieu, Jean Tiberi souhaite évoquer les difficultés
d’accès à la piscine Jean Taris point que nous évoquions le 25 Aout. Il est
vrai qu’à l’époque la rentrée des associations et des écoles n’était pas encore
faite. Aujourd’hui les associations de parents d’élève sont rentrées dans le
jeu politique les heures de piscine
scolaire ne pouvant avoir lieu.
Après la
grève « larvée » du personnel d’accueil nous avons droit à la
grève des « maitres-nageurs ». Nous avons la chance d’avoir dans le 5ème
le record des grèves !!! Il semblerait qu’une solution soit en cours de
finalisation au niveau parisien. Espérons-le, nous avons le droit de faire de l’exercice !!!!!!!
Une
conclusion plus polémique. Dominique Tiberi n’a pu s’empêcher de rappeler que
le Maire de Paris ne répondait jamais aux veux émis par le conseil d’arrondissement.
Pour la nième fois, Etienne Dolet lui rappelle que les vœux votés en conseil d’arrondissement
ont vocation à être présentés en Conseil de Paris où une réponse (vote)
politique leur sera apportée. Le Maire de Paris ne peut juridiquement répondre
qu’à une lettre. Alors Madame et
Messieurs les conseillers de Paris issus du conseil d’arrondissement du 5ème
c’est à vous de jouer. Mme Bach et M. Saint Etienne n’étant pas des plus
assidus ou des plus actifs au conseil d’arrondissement, il ne reste plus que Jean Tiberi lui-même
pour se lancer dans l’arène qu’il connait depuis si longtemps et qu’il a
présidée.