Naturellement Jean Tiberi tout en déclarant vouloir rester calme (sa phrase favorite au Conseil d'arrondissement pour incarner son ex stature de Maire de Paris, ah... souvenir, souvenir,..) utilise dans ses différents interviews des mots qui montrent son désarroi : suicide, menaces, intimidation, erreur majeure pour Paris (et pourquoi pas pour la France), folie, parachutage,
Il invoque l'arbitrage de F. Fillon l'homme avec qui il avait "dealé" pour assurer l'avenir professionnel et politique de son fils Dominique en contrepartie d'un mandat de député de la 2nde circonscription de Paris imprenable.
Quand on lui évoque la porte laissée ouverte à Dominique par Florence Berthout, la réponse est cinglante "comment voulez-vous que mon fils ailler avec une perdante?".
Il est sur que la famille Tiberi sait mettre en action ses "réseaux" quand il le faut et il le faut uniquement quand ils sont candidats.
Le clan voudra-t-il être trop gourmand et être candidat ensemble ou fait-on sciemment monter les enchères en menaçant la mise en place d'une liste dissidente; rappelons-nous que c'est entre autre grâce à la dissidence Tiberi que B. Delanoë put rafler la mise à Paris.
La vraie question est de savoir si Florence Berthout a-t-elle un autre choix que de s'allier avec les Tiberi pour gagner?
- Peut-elle être suffisamment convaincante pour détourner le 2ème cercle des Tiberi vers elle et construire ses propres réseaux?
- Devra-t-elle garantir une place de N°2 synonyme en cas de victoire d'une place de Conseiller de Paris
- Ou encore pire NKM en personne devra-t-elle s'engager à faire de Dominique un de ses adjoints?
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